Souvent, il tient des personnages, comme ça, à bout de bras, fragiles... et j'ai toujours peur. Il les décrit, les raconte... Et les personnages vont et viennent, à la fois torturés et insouciants, presque enfantins... Et s'évaporent comme ça, oui, comme ça... Un peu comme les gens lointains que l'on connaît, et qui vivent sans qu'on ne leur parle.